Notre océan est en danger

Le 7/06/2022 à l’étude, nous avons rencontré deux jeunes hommes nommés Thomas Lesage et son frère Martin ayant fait le tour de l’océan Atlantique et qui, ensuite, se sont arrêtés dans plusieurs écoles pour sensibiliser les élèves aux problèmes liés à la pollution marine. A 15 ans, Thomas a créé une association appelée  « Childrens for oceans ».

Ils nous ont parlé des différents problèmes causés par la surpêche, la pêche à la dynamite et les problèmes des microplastiques.

La surpêche

La surpêche est une pêche non modérée, qui tue et détruit des organismes marins innocents et qui deviennent immangeables et donc impropres à la consommation humaine, c’est donc un gaspillage immoral et aberrant.

La pêche à la dynamite

La pêche à la dynamite représente un risque énorme pour l’écosystème et la biodiversité marine, cette pratique a été considérée comme illégale dans de nombreux pays.

Le problème des microplastiques

Les microplastiques sont le résultat de déchets plastiques jetés dans la mer et transportés par le courant, restant ainsi bloqués dans les méandres de l’océan, et ce, des années durant. Ils causent beaucoup de dégâts aux animaux marins, mais pas seulement à ces derniers. Si un poisson avale du plastique ou des microplastiques, nous pouvons les retrouver dans nos plats, ainsi que dans l’air, car quand les eaux s’évaporent, la vapeur transporte ces microplastiques. Tous les dix ans une personne peut ingérer ou respirer l’équivalent plastique d’une carte bleue, ce qui risque dangereusement de réduire notre espérance de vie.

Nous courons un risque énorme car, dans une cinquantaine d’années, nous n’aurons plus de poissons pour nous nourrir, or 50% de la population mondiale se nourrit presque exclusivement de poissons.

Thomas et Martin sont venus nous parler en grande partie de ceci.  Le temps d’agir est venu, nous avons moins de cinquante ans avant que les poissons ne disparaissent. Donc, si comme moi, vous aimez les sushis, le poisson cuit à la vapeur, etc., il est temps que nous arrêtions de polluer notre belle planète bleue, au risque d’arriver à n’avoir plus de temps pour y remédier.

Guida Gabriel / S2FRE / EEB1 Uccle

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